L’hebdomadaire économique britannique estime qu' il est le "meilleur du lot".
Nicolas Sarkozy, par défaut. L’hebdomadaire The Economist, l’une des références des milieux financiers internationaux, affiche dans son édition de samedi son soutien au candidat de l’UMP. «Contrairement aux autres» candidats, estime l’hebdomadaire, Nicolas Sarkozy «n’hésite pas à admettre que la France a besoin de changements radicaux».
Et ces changements, la France en a besoin, plaide The Economist, qui se livre a un véritable réquisitoire : la France «a la plus faible croissance des grands pays européens», «la dette publique qui augmente le plus rapidement de toute l’Europe du Nord», et surtout «un haut niveau de chômage endémique». Face à cette crise, The Economist préconise «une libéralisation radicale du travail et des marchés, plus de compétition et moins de protection, des taxes plus faibles et des coupes dans les dépenses publiques».
«Une chance pour la France»
Pour l’hebdomadaire, Nicolas Sarkozy est le seul à même de mener cette politique. Même si le journal estime qu’il est plus «un pragmatique brutal», aussi «interventionniste» que les autres politiciens Français, qu’un «libéral convaincu» et juge que sur le thème de la dette publique, François Bayrou «est plus crédible» que lui.
L’hebdomadaire reproche également au candidat de l’UMP son «populisme économique» et son protectionnisme, ainsi que ses allusions à «l’identité nationale» et son impopularité dans les banlieues. Mais «il est le seul candidat suffisamment courageux pour prôner la 'rupture' avec son passé dont la France a besoin après tant de mornes années», reconnaît The Economist, pour qui «c’est une chance pour la France».
Et ces changements, la France en a besoin, plaide The Economist, qui se livre a un véritable réquisitoire : la France «a la plus faible croissance des grands pays européens», «la dette publique qui augmente le plus rapidement de toute l’Europe du Nord», et surtout «un haut niveau de chômage endémique». Face à cette crise, The Economist préconise «une libéralisation radicale du travail et des marchés, plus de compétition et moins de protection, des taxes plus faibles et des coupes dans les dépenses publiques».
«Une chance pour la France»
Pour l’hebdomadaire, Nicolas Sarkozy est le seul à même de mener cette politique. Même si le journal estime qu’il est plus «un pragmatique brutal», aussi «interventionniste» que les autres politiciens Français, qu’un «libéral convaincu» et juge que sur le thème de la dette publique, François Bayrou «est plus crédible» que lui.
L’hebdomadaire reproche également au candidat de l’UMP son «populisme économique» et son protectionnisme, ainsi que ses allusions à «l’identité nationale» et son impopularité dans les banlieues. Mais «il est le seul candidat suffisamment courageux pour prôner la 'rupture' avec son passé dont la France a besoin après tant de mornes années», reconnaît The Economist, pour qui «c’est une chance pour la France».
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